La supervision, pour quoi ?

Pour développer l’éthique de sa pratique :

professionnaliser sa pratique d’accompagnant.
développer le cadre de sa pratique.
mieux identifier la limite entre coaching, accompagnement et thérapie.
vérifier que la pratique s’inscrit dans la déontologie de la profession càd dans le cadre des lois et normes de la profession.

Pour développer son identité professionnelle :

développer le savoir-faire (les compétences) et le savoir-être (la posture), et aussi le savoir-devenir.
évoluer dans son identité et sa légitimité professionnelle.
développer ses projets professionnels.
se faire accompagner dans ses décisions ou choix d’évolution professionnelle.
clarifier ses enjeux professionnels.
mettre en consciences les raisons de choisir le métier de coach.

Pour développer sa posture d’accompagnant :

développer sa puissance, son style et sa créativité de coach.
- multiplier ses antennes d’accompagnant et l’écoute active.
- avoir plus de conscience dans sa pratique d’accompagnant.
- sortir de l’automatisation, pour favoriser la souplesse d’intervention.
se donner du support ou de la protection lorsque le coach est personnellement affecté par l’exercice de sa profession.
- identifier les processus parallèles, les reflets systémiques, les transferts et contre-transferts.
- remplacer le doute, les peurs par plus de confiance, de centrage, de certitude.
- identifier ses allergies, ses zones d’irritation.
- développer plus de présence dans le coaching des personnalités difficiles.
- prendre du recul, conserver sa neutralité.

Pour mettre du lien dans sa pratique :

passer de la position de l’accompagnant qui écoute, à l’accompagnant qui est écouté et accompagné par son superviseur.
faire soi-même ce que l’on propose à son coaché de faire / pouvoir se faire accompagner par d’autres.
pallier à la solitude de l’accompagnant.
exprimer dans un cadre confidentiel et bienveillant ce que le secret professionnel n’autorise pas à exprimer dans un cadre extérieur.